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Ouest France - 5 Avril 2018

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Ouest France - 9 Septembre 2017

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Ouest France - 26 Mai 2015

Vallet

Ouest France - 7 Janvier 2015

Rezé

« J'arrête de râler sur mes enfants et mon conjoint »

 

 

 

Vous aviez imaginé une vie de famille synonyme de paix, de coopération et de bonne humeur, mais le constat est que votre réalité ressemble plutôt à un champ de bataille. Hélène Bonnet, a décidé de devenir formatrice certifiée après avoir lu le livre J'arrête de râler en 21 jours, de Christine Lewcki et Florence Leroy.

Auparavant, Hélène Bonnet était monitrice éducatrice et, à la naissance de son troisième enfant, elle a pris un congé parental. Elle s'est aperçue qu'elle se conduisait à l'opposé de ce qu'elle aurait voulu être pour ses enfants. La conférencière propose de nouveaux outils pour apprendre à vivre sa vie de famille autrement, dans le calme et la sérénité : « Vous serez intéressés si vous en avez marre que tout le monde n'en fasse qu'à sa tête, si vous avez l'impression de toujours subir, de mal faire, si vous avez envie de respect, de coopération, de bienveillance, si vous avez envie de vous sentir bien chez vous en famille. »

Hélène Bonnet a concocté, en complément, une série de cinq ateliers méticuleusement préparés pour cheminer vers une nouvelle vie de famille. Des modules de deux heures et demie, les vendredi 16 et 30 janvier, vendredi 6 et samedi 7 février et vendredi 6 mars, de 9 h 30 à 12 h, à Maisdon-sur-Sèvre. Prix : 350 € par personne et 450 € pour deux personnes. De 6 à 12 personnes par module. Renseignements au 07 85 18 78 64 et helenejdr.wix.com/caplebonheur

Mardi 13 janvier, à 20 h 30, conférence au 111, rue de la Commune, à Rezé. Entrée libre et gratuite, sans aucun engagement.

Ouest France-12 Décembre 2014

Maisdon sur Sèvre

Ouest France-19 Juin 2014

Rezé

Ils vous apprennent à ne plus râler sur vos proches

Des enfants capricieux, un désaccord avec son conjoint... Il peut y avoir mille et une raisons de ronchonner. Hélène Bonnet et Dominique Demaegdt ont proposé des conseils pour éviter de s'énerver au quotidien.

« Vous entrez dans un espace non-râleur » ! Les affiches d'un atelier un peu insolite, hier au Passage culturel, donnent le ton. Les ronchons doivent laisser leur mauvaise humeur à la porte. Hélène Bonnet et Dominique Demaegdt, organisateurs de l'animation, sont formateurs. Ils se sont basés sur le livre de Christine Lewicki et Florence Leroy, J'arrête de râler sur mes enfants (et mon conjoint), pour distiller quelques astuces aux Chole-tais et apaiser les relations avec les proches. Séverine s'est déplacée avec ses deux fils, Louis, 4 ans et demi, et Paul, 20 mois. Elle avait rencontré Hélène Bonnet lors d'un autre atelier sur la parentalité.

 

Râler, « ça ne fait pas avancer les choses et ça peut nuire à notre entourage, souligne la jeune maman. Et ce n'est pas une attitude que je veux transmettre à mes enfants. » Premier conseil d'Hélène Bonnet et Dominique Demaegdt : ne pas oublier de s'accorder du temps pour soi, pour ne pas être constamment irrité. « On peut aussi réorganiser sa vie de famille en fonction des besoins de chacun », précise Hélène Bonnet. « Mais attention, ne plus râler, ce n'est pas tout accepter de ses enfants et de son conjoint, prévient Dominique Demaegdt. Au contraire, ça permet de poser des limites sereinement et célébrer tout ce qui se passe bien. »

 

Prise de conscience

 

Séverine se souvient d'une situation de conflit avec son fils il y a quelques jours. « Louis regardait un dessin animé. Lorsque la vidéo s'est terminée, il a refusé de prendre sa douche. Je l'avais pourtant prévenu avant d'allumer la télévision. Je me suis énervée, parce que j'étais fatiguée et que j'avais l'impression qu'à chaque fois, c'était un combat pour qu'il se lave. »

 

Parfois, réagit Hélène Bonnet, il faut demander aux enfants en toute simplicité ce qu'ils veulent. La petite famille entoure la formatrice. Le petit Louis, interrogé, répond qu'il « préfère un grand bain ». 

 

Séverine, Ã©tonnée, acquiesce avec un sourire : « Il faudra faire quelques aménagements, mais c'est possible. »

Laisser une certaine liberté de choix aux enfants, peut constituer une alternative. « Lorsque je me promenais avec mes enfants, j'ai demandé à ma fille de me tenir la main, ce qu'elle a refusé, raconte Dominique Demaegdt. Je lui ai ensuite expliqué que j'avais peur qu'elle se fasse écraser et là, elle m'a proposé de tenir la poussette. "C'était une solution qui nous convenait à tous les deux."

 

Séverine, convaincue par cette discussion, veut tenter le défi proposé par le livre, en 21 jours. Celui d'apaiser les relations avec son entourage : « J'aimerais prendre conscience que je râle et quand je le fais, être capable de me demander ce qui ne va pas. Pour enfin avoir des relations différentes avec ma famille. »

 

Marie CHEVILLARD.

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